Gabriel Faur — À Clymène

Mystiques barcarolles Romances sans paroles Chère, puisque tes yeux Couleur des cieux Puisque ta voix, étrange Vision qui dérange Et trouble l'horizon De ma raison Puisque l’arôme insigne De ta pâleur de cygne Et puisque la candeur De ton odeur Ah ! puisque tout ton être Musique qui pénètre Nimbes d'anges défunts Tons et parfums A, sur d'almes cadences En ses correspondances Induit mon cœur subtil Ainsi soit-il!


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