Reynaldo Hahn — Paysage triste

L'ombre des arbres dans la rivière embrumée Meurt comme de la fumée Tandis qu'en l'air, parmi les ramures réelles Se plaignent les tourterelles Combien, ô voyageur, ce paysage blême Te mira blême toi-même Et que tristes pleuraient dans les hautes feuillées, - Tes espérances noyées


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