Reynaldo Hahn — Séraphine

Quand je chemine, le soir Dans la forêt rêveuse Toujours chemine à mon côté Ta tendre image N'est-ce pas là ton voile blanc? N'est-ce pas ton doux visage? Ou bien, ne serait-ce que le clair de lune Qui brille à travers les sombres sapins? Est-ce mes propres larmes Que j'entends couler doucement? Ou se peut-il, réellement Que tu viennes, pleurant à mes côtés?


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